Léa Silhol - La Sève et le Givre
Edition : Points n°1465
Pages : 303
Date : 2002
ISBN : 978-2-02-085159-6
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Quatrième de couverture
Trois fois les Parques ont parlé : Finstern, Roi de la Cour de Dorcha, doit mourir. Seule la belle Angharad peut contrecarrer la mort de Finstern, ou la précipiter. Elle ignore son propre destin, et le prix à payer pour accomplir sa mission... Dans la funeste partie d'échecs qui s'engage entre les Cours d'Ombre et de Lumière, la Reine Blanche devra trouver sa voie.
Mon avis
Derrière cette belle couverture se cache un roman étrange et envoûtant. Ce qui frappe en premier est le style de l'auteur. Celui qui n'aime pas le trouvera alambiqué, artificiel. Pour ma part, j'ai apprécié cette écriture poétique, dense, pleine d'images bien qu'elle m'ait demandé beaucoup de concentration pour suivre les volutes de sa plume. Et si ce roman est plutôt court, il fut très long à lire pour cette raison.
Me voici donc transportée en Féerie, un vaste monde inspiré des légendes celtiques, complexe (merci pour le lexique qui éclaira mon chemin, car il est aisé de s'y perdre très vite), empli de merveilleux et de dangers. Le Royaume à lui seul a de quoi faire marcher l'imaginaire. On se met à errer en Hiver ou dans les Cours d'Ombre, des terres ensorcelantes.
Un barde nous conte les destinées des deux héros, l'amour, la recherche de soi, les obstacles qui se dressent... Comment rester de marbre devant Angharad la belle et Firnstern le redoutable ? Autour d'eux, une multitude de personnages féeriques tous aussi puissants et fascinants les uns que les autres.
La Sève et le Givre est un roman marquant où l'auteur m'a impressionnée par sa plume qui est à la hauteur de l'histoire empreinte de magie, de folklore et de passion. Indispensable.

Pages : 303
Date : 2002
ISBN : 978-2-02-085159-6
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Quatrième de couverture
Trois fois les Parques ont parlé : Finstern, Roi de la Cour de Dorcha, doit mourir. Seule la belle Angharad peut contrecarrer la mort de Finstern, ou la précipiter. Elle ignore son propre destin, et le prix à payer pour accomplir sa mission... Dans la funeste partie d'échecs qui s'engage entre les Cours d'Ombre et de Lumière, la Reine Blanche devra trouver sa voie.
Mon avis
Derrière cette belle couverture se cache un roman étrange et envoûtant. Ce qui frappe en premier est le style de l'auteur. Celui qui n'aime pas le trouvera alambiqué, artificiel. Pour ma part, j'ai apprécié cette écriture poétique, dense, pleine d'images bien qu'elle m'ait demandé beaucoup de concentration pour suivre les volutes de sa plume. Et si ce roman est plutôt court, il fut très long à lire pour cette raison.
Me voici donc transportée en Féerie, un vaste monde inspiré des légendes celtiques, complexe (merci pour le lexique qui éclaira mon chemin, car il est aisé de s'y perdre très vite), empli de merveilleux et de dangers. Le Royaume à lui seul a de quoi faire marcher l'imaginaire. On se met à errer en Hiver ou dans les Cours d'Ombre, des terres ensorcelantes.
Un barde nous conte les destinées des deux héros, l'amour, la recherche de soi, les obstacles qui se dressent... Comment rester de marbre devant Angharad la belle et Firnstern le redoutable ? Autour d'eux, une multitude de personnages féeriques tous aussi puissants et fascinants les uns que les autres.
La Sève et le Givre est un roman marquant où l'auteur m'a impressionnée par sa plume qui est à la hauteur de l'histoire empreinte de magie, de folklore et de passion. Indispensable.