Le Silence de la mer

Auteur : Vercors
Date : 1941
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Date : 1941
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Je pensais, à tort, que Le Silence de la mer était un roman or il s’agit d’une nouvelle.
Généralement accompagnée quand elle est publiée. Huit récits donc dont la première fait office de préface.
Je ne suis guère portée sur les histoires ayant trait aux événements relatifs à la guerre mais mon devoir de lire ce qui est considéré comme incontournable m’ont fait ouvrir ce recueil. Très bien d’ailleurs, je n’ai rien à lui reprocher, mais ce n’est tout simplement pas mon truc. Trop sensible.
Les nouvelles traitent donc de la France occupée et de la déportation. Un moment ô combien joyeux et comme je suis facilement déprimée, j’ai vite lu pour vite me remettre quelque chose de plus gai en tête (mon Dumas d’amour en l’occurrence).
Ce sera donc un article éclair car si je m’étale trop, ça n’ira pas bien du tout.
Notamment avec Ce jour-là, lu il y a très longtemps. Dès les premières lignes, avec le pot de géranium de la mère et ce petit garçon qui s’en va faire une dernière promenade avec son père, je savais que j’allais devoir sortir le mouchoir.
La nouvelle éponyme conte la bataille silencieuse de deux français obligés d’héberger un soldat allemand crédule et francophile. Le silence est tout ce qui reste au narrateur et à sa nièce qui veulent garder leur dignité, leur fierté.
L’imprimerie de Verdun et la Marche à l’étoile sont poignantes également. Les personnages sont confiants, naïfs dans la politique de leur Maréchal et la désillusion n’en sera que plus forte.
D’autres sont ou deviennent actifs dans la lutte contre l’ennemi mais l’impuissance et le découragement les guettent. Les autres nouvelles m’ont moins marqué bien que Le songe soit plutôt édifiant mais je vais en rester là parce que ressasser cette lecture va à nouveau saper mon moral.
Heureusement dehors il fait beau.
Généralement accompagnée quand elle est publiée. Huit récits donc dont la première fait office de préface.
Je ne suis guère portée sur les histoires ayant trait aux événements relatifs à la guerre mais mon devoir de lire ce qui est considéré comme incontournable m’ont fait ouvrir ce recueil. Très bien d’ailleurs, je n’ai rien à lui reprocher, mais ce n’est tout simplement pas mon truc. Trop sensible.
Les nouvelles traitent donc de la France occupée et de la déportation. Un moment ô combien joyeux et comme je suis facilement déprimée, j’ai vite lu pour vite me remettre quelque chose de plus gai en tête (mon Dumas d’amour en l’occurrence).
Ce sera donc un article éclair car si je m’étale trop, ça n’ira pas bien du tout.
Notamment avec Ce jour-là, lu il y a très longtemps. Dès les premières lignes, avec le pot de géranium de la mère et ce petit garçon qui s’en va faire une dernière promenade avec son père, je savais que j’allais devoir sortir le mouchoir.
La nouvelle éponyme conte la bataille silencieuse de deux français obligés d’héberger un soldat allemand crédule et francophile. Le silence est tout ce qui reste au narrateur et à sa nièce qui veulent garder leur dignité, leur fierté.
L’imprimerie de Verdun et la Marche à l’étoile sont poignantes également. Les personnages sont confiants, naïfs dans la politique de leur Maréchal et la désillusion n’en sera que plus forte.
D’autres sont ou deviennent actifs dans la lutte contre l’ennemi mais l’impuissance et le découragement les guettent. Les autres nouvelles m’ont moins marqué bien que Le songe soit plutôt édifiant mais je vais en rester là parce que ressasser cette lecture va à nouveau saper mon moral.
Heureusement dehors il fait beau.